Zwei Gesetze der Strafentwicklung: Unterschied zwischen den Versionen

 
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* L. Sheleff (1975); ''From restitutive law to repressive law: Durkheim's The Division of Labour in Society revisited''; European Journal of Sociology; Cambridge; S.16-45
* L. Sheleff (1975); ''From restitutive law to repressive law: Durkheim's The Division of Labour in Society revisited''; European Journal of Sociology; Cambridge; S.16-45
* S. Spitzer (1975); ''Punishment and social organisation: a study of Durkheim's theory of penal evolution''; Law and Society Review; Oxford;  S.613-637
* S. Spitzer (1975); ''Punishment and social organisation: a study of Durkheim's theory of penal evolution''; Law and Society Review; Oxford;  S.613-637
== Lernmaterial von Manuel Tostain ==
Textstruktur:
Einleitung: Erklärung der Herangehensweise
Teil I: Beschreibung des ersten Gesetzes
Beschreibung der beiden Variablen: Niveau einer Gesellschaft, Absolutheitsgrad der Regierung
Die historischen Belege
Teil II: Beschreibung des zweiten Gesetzes
Belege: die Entwicklung der Sichtweise des Gefängnisses
Teil III: Erklärung des zweiten Gesetzes
Des raisons expliquant l’absence de prison dans les sociétés inférieures : pas de besoin, pas de
conditions concrètes de possibilité; Pourquoi la prison en tant que peine privative de liberté s’est développée
Teil IV: Erklärung des ersten Gesetzes
Réfutation de la thèse de l’adoucissement des moeurs
Les deux types de criminalité (de focalisation sur)
Les deux forces en présence lors d’un crime
Du passage de l’une à l’autre criminalité (attention à)
Des influences entre ces deux criminalités
Teil V: Konklusion
L’adoucissement des peines est-il inéluctable ?
De l’émergence de la nouvelle criminalité et de ses conséquences sur le code pénal et la
peine
Evaluation de la compréhension du texte : questions sur le texte :
Partie I description de la (1ère) loi des variations quantitatives
1) comment Durkheim (D) définit-il les 2 facteurs de la 1ère loi ?
2) pourquoi D distingue-t-il ces deux facteurs ?
3) quelle critique D adresse-t-il à la théorie de Spencer ?
4) quels sont les principales évolutions historiques quant à la peine ?
5) ces évolutions sont-elles linéaires ? (toujours dans le sens d’un adoucissement et si non pourquoi ?)
6) où se situe la peine de mort dans l’échelle des peines des sociétés inférieures ?
Partie II description de la (2nde) loi des variations qualitatives
7) comment la prison est-elle envisagée dans les sociétés inférieures ?
8) citez quatre façons d’envisager la prison dans les sociétés inférieures ?
9) a partir de quand la peine de mort devient la peine suprême ?
Partie III explication de la 2nde loi
10) indiquez les deux raisons principales qui expliquent selon D la quasi-absence de la peine de prison
dans les sociétés inférieures
11) pourquoi la peine de prison s’est-elle développée ? que remplaçait-elle ?
12) en quoi la 1ère loi explique la 2nde loi ?
Partie IV explication de la 1ère loi
13) quel est parmi les deux facteurs, celui qui explique le plus la 1ère loi ?
14) pourquoi D considère que ce n’est pas l’adoucissement des moeurs qui explique l’adoucissement
des peines ?
15) quel sont les deux types de criminalité auxquels toute société est plus ou moins attentive ?
16) quel est le type de criminalité qui focalise principalement l’attention des sociétés inférieures ?
17) quelles sont les deux forces antagonistes qui s’expriment lors d’un crime ?
18) quelle est la force qui prédomine dans la criminalité religieuse ? Et pourquoi ?
19) pourquoi les peines ne s’adoucissent-elles pas dès qu’apparaît l’attention à la criminalité
humaine ?
20) décrivez l’inversion historique qui se produit en ce qui concerne l’influence réciproque entre les
deux types de criminalité ?
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21) avec quoi l’adoucissement des peines se trouve-t-il en harmonie ?
22) quelle influence (et pourquoi) a l’absolutisme sur la peine ?
Partie V conclusion
23) l’adoucissement des peines va-t-il se poursuivre ? Et si non, pourquoi ?
24) quel est le système de criminalité qui disparaît ou se réduit ?
25) que provoquera la nouvelle criminalité ? Et pourquoi ?
26) cette nouvelle criminalité se trouve en phase avec quel type de morale ?
27) en quoi cette nouvelle criminalité est en phase avec cette morale ?
Pour aller plus loin :
28) quelle est la méthode sociologique adoptée par D dans ce texte ?
29) pourquoi D qualifie-t-il cette évolution pénale de mécanique ? (cf. page 92) En quoi est-ce
cohérent avec sa méthode sociologique ?
30) pourquoi dans les sociétés de type plus élevé c’est l’attention à la criminalité humaine qui
prédomine ?
31) les prédictions en matière pénale de D se sont-elles révélées exactes à un siècle de distance ? En
quoi, sur quoi et comment se sont-elles ou non révélées exactes ?
32) pourquoi le niveau des sociétés tend à s’élever ? Est-ce véritablement le cas ?
33) pourquoi ce passage de la criminalité religieuse à la criminalité humaine ?
34) pourquoi émergent de nouvelles aspirations morales ? Et en quoi consistent-elles ?
35) doit-on considérer si on se réfère à ce texte que pour D il y a un sens dans l’histoire ? Si oui, d’où
s’origine ce sens de l’histoire ? Est-ce immanent ? transcendant ?
36) ce sens de l’histoire vous paraît-il légitime ?
37) qu’est-ce qui change en terme de liens, de solidarité entre individus quand on passe des sociétés
inférieures aux sociétés supérieures ?
38) ces qualificatifs de sociétés inférieures et supérieures vous semblent-t-ils exacts ? Et pourquoi ?
39) cette idée de niveau d’une société s’inscrit-il ou non dans une perspective positiviste ?
40) quelles questions vous posez-vous sur ce texte ?


*Durkheim, E. (1895). Le crime est normal. Dans Les règles de la méthode sociologique, pp.64-75. Paris: Presses Universitaires de France.
*Durkheim, E. (1895). Le crime est normal. Dans Les règles de la méthode sociologique, pp.64-75. Paris: Presses Universitaires de France.


*Lombart, J. (1985). La toute puissance du crime et le préjugé Durkheimien. Cahiers Lillois d’Economie et de Sociologie, 6:33-39.
*Lombart, J. (1985). La toute puissance du crime et le préjugé Durkheimien. Cahiers Lillois d’Economie et de Sociologie, 6:33-39.
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